• mini-raffinerie d'huile de palme brute au Cameroun
  • Quelle est la demande de l'huile de palme brute au Cameroun ?
  • À en croire l'Asroc, la demande des unités de transformation industrielle de l'huile de palme brute, qui se multiplient au Cameroun, culmine de nos jours à plus d'un million de tonnes par an. Pourtant, selon les pointages du ministère de l'Agriculture, l'offre locale est passée de 343?000 tonnes en 2014 à 413?000 tonnes en 2018.
  • Qu'est-ce que le secteur palmier à huile au Cameroun?
  • Historique du secteur palmier à huile au Cameroun|17 en 1947. À cette date, l'ensemble de ses plantations atteignent 20 000 ha (Limoigne, 2010). Les cultures développées incluent le bananier, le théier, l'hévéa et le palmier à huile. Entre 1946 et 1947, la CDC met sur pied le premier programme de plantations villageoises dans cette partie du pays.
  • Qui est le propriétaire de la raffinerie du Cameroun ?
  • Il y a aussi la Nouvelle raffinerie du Cameroun, entreprise contrôlée par Fabrice Siaka, promoteur du groupe Sodinaf, qui a repris en 2018 les actifs du forestier français Rougier au Cameroun et en RCA.
  • Quels sont les marchés de la raffinerie de l'huile de palme et palmiste ?
  • Plus de 18 sociétés partagent pour le moment ce segment de l'industrie de la raffinerie de l'huile de palme et palmiste, et la fabrication de savon, dont le marché devient grandissant du fait de l'exportation vers les pays voisins comme le Nigeria, Tchad, Niger et même jusqu'au Soudan.