• mini presse à huile usine de fabrication d'huile en Côte d'Ivoire
  • Pourquoi les industriels ivoiriens sont-ils exposés à un risque d'image ?
  • Il y a mani-festement des parts de marché à prendre, en volume ou surtout en valeur, auprès de cette clientèle, pour mieux valoriser l'huile de palme ivoirienne et ses produits dérivés. Les industriels ivoiriens sont en effet exposés à un risque d'image, à cause de la montée de courants « anti-huile de palme » en Afrique de l'Ouest.
  • Pourquoi le groupe développe-t-il Cette huile ?
  • Loin de se canton-ner à une marque de distributeur, le groupe développe cette huile dans une perspective commerciale plus ambitieuse visant à la sécurisation de son propre approvisionnement comme à son ancrage sur le marché face à la marque de référence Dinor. En moins de 10 ans, près de 20 % du marché aurait été conquis par le nouvel entrant.
  • Quels sont les avantages de l'huile de palme en Côte d'Ivoire ?
  • Enfin, il convient de préciser, et c'est un paradoxe, qu'en Côte d'Ivoire la production d'huile de palme contribue moins à la déforestation que celles d'hévéa et de cacao, qui font pourtant l'objet de davantage de certifications environnementales et sont expor-tées en masse vers l'Europe.
  • Comment sont taxées les huiles d'importation ?
  • Théoriquement, à l'entrée dans cette communauté économique, les huiles d'importation sont taxées à hauteur de 10 % à 35 % selon leur na-ture et leur conditionnement, ce qui favorise les productions locales ; mais ces mesures ne sont pas appliquées, ou pas de la même façon, par tous les Etats de la zone.