• usine de presse à huile à froid simple d'entretien en Côte d'Ivoire
  • Pourquoi les industriels ivoiriens sont-ils exposés à un risque d'image ?
  • Il y a mani-festement des parts de marché à prendre, en volume ou surtout en valeur, auprès de cette clientèle, pour mieux valoriser l'huile de palme ivoirienne et ses produits dérivés. Les industriels ivoiriens sont en effet exposés à un risque d'image, à cause de la montée de courants « anti-huile de palme » en Afrique de l'Ouest.
  • Pourquoi le groupe développe-t-il Cette huile ?
  • Loin de se canton-ner à une marque de distributeur, le groupe développe cette huile dans une perspective commerciale plus ambitieuse visant à la sécurisation de son propre approvisionnement comme à son ancrage sur le marché face à la marque de référence Dinor. En moins de 10 ans, près de 20 % du marché aurait été conquis par le nouvel entrant.
  • Quelle est la production ivoirienne d'huile de palme ?
  • La production ivoirienne d'huile de palme se partage entre petits planteurs villageois et plantations industrielles. Les premiers, environ 40 000, cultivent 175 000 hectares (soit 4,3 hectares en moyenne par actif), avec un rendement faible, de l'ordre de 5 à 8 t/ha.
  • Quelle est la productivité des plantations industrielles ?
  • Les plantations industrielles exploitent 75 000 hectares, avec une productivité singulièrement plus élevée (12 t/ha). Les usines de première transformation produisent, à partir des régimes de fruits, environ 560 000 tonnes d'huile brute.